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Sept jours sur le fleuve
Par Henry David Thoreau, Thierry Gillyboeuf. 2012
Diplômé de Harvard à l'âge de vingt ans, Henry David Thoreau renonce à enseigner dans l'école publique de Concord, sa…
ville natale du Massachusetts. Pour gagner sa vie, il choisit le métier de géomètre, mais l'essentiel est ailleurs : dans la nature et dans la poésie. Son oncle l'a initié très jeune aux promenades dans la campagne et les bois qui entourent la ville. Avec son frère John, il décide à la fin de l'été 1840 de fabriquer un canoë et de faire un périple de sept jours sur la rivière Concord et le fleuve Merrimack. Lorsqu'il perd son frère en 1842, il entreprend d'exorciser sa douleur et son chagrin par l'écriture. En racontant leur expédition tranquille, il livre ses réflexions sur la littérature et la philosophie, sur les Indiens et l'histoire puritaine de la Nouvelle-Angleterre, sur les grands textes sacrés. Voyage intérieur autant qu'excursion fluviale, ce tout premier récit, inédit jusqu'ici en français, porte en germe ce qui fera la particularité de son livre le plus fameux, Walden. Grâce à lui, l'écrivain Thoreau a trouvé sa voix. 2012.
Sacrés Américains!: nous, les Yankees, on est comme ça
Par Ted Stanger. 2004

Portrait du Gulf Stream: éloge des courants : promenade
Par Erik Orsenna. 2005

Pleins gaz (Vis-à-vies)
Par Ivan Steenhout, John Pitt. 1986
L'auteur abandonne sa vie routinière et ennuyeuse et part à l'aventure sur sa moto. Dans ce livre, il raconte son…
voyage de 32,000 milles à travers les Amériques à l'âge de 61 ans. Quelques descriptions de nature sexuelle. 1986.
Carnet d'une flâneuse à New York: mes meilleures adresses
Par Esther Bégin. 2012
Esther Bégin aime New York! Journaliste, elle a vécu plus de deux ans dans la Grosse Pomme. Le temps qu’il…
faut pour remplir son carnet des meilleures adresses new-yorkaises pour manger, magasiner, se dorloter, se balader, prendre le thé, et se cultiver. Flâneuse experte et dénicheuse de bonnes adresses, l’auteure nous fait découvrir son New York, celui qu’elle a connu et apprivoisé au fil de ses pérégrinations urbaines et de ses rencontres. 2012.
Mata Hari: la poudre aux yeux
Par Anne Bragance. 1995

Lusitania 1915, la dernière traversée
Par Erik Larson, Paul Simon Bouffartigue. 2016
" Le 1er mai 1915, le Lusitania, un paquebot britannique, quitte New York pour rejoindre Liverpool, avec à son bord…
près de 2.000 passagers. Le capitaine sait qu'il n'a pas le droit de s'approcher de l'Angleterre, zone de guerre. Mais, les règles interdisent les attaques de bateaux civils. À bord du sous-marin allemand U-20, le capitaine Schwieger est cependant bien décidé à couler le navire. " Titre uniforme: Dead wake: the last crossing of the Lusitania.
Les artisans de la paix: comment Lloyd George, Clemenceau et Wilson ont redessiné la carte du monde
Par Margaret MacMillan. 2006
Paris, 1919 : après la " guerre qui devait mettre fin à toutes les guerres ", des hommes et des…
femmes de tous les pays convergent vers la capitale pour la conférence de la Paix où va se redessiner la carte du monde. Outre les représentants des plus grandes puissances victorieuses - Wilson, Lloyd George et Clemenceau -, affluent journalistes, ambassadeurs et porte-parole de cent causes différentes - de T.E. Lawrence à la reine Marie de Roumanie, en passant par J.M. Keynes et Hô Chi Minh. Paris est alors le centre du monde, le lieu où se liquident les empires, où naissent de nouveaux pays, et où vont se nouer drames et malentendus. Quelques descriptions de violence. 2006. Titre uniforme: The peacemakers.
Le roman du Mississippi
Par Bernard Pierre. 1983
En suivant les 3,750 km du Mississippi, de sa source à la frontière canadienne jusqu'à son delta dans le golfe…
du Mexique, l'auteur fait vivre et parler le père des eaux comme un être humain. 1983.
American vertigo
Par Bernard Henri Lévy. 2006
Où va l'amérique ? Devant ce pays colossal et blessé, contradictoire et protéiforme, devant ce pays-concept dont les emblèmes, nobles…
ou infamants, tournent à n'en pas finir sur le manège médiatique mondial, chacun est pris de vertige. American Vertigo ? Un livre-enquête mobile et chaleureux. Un reportage conceptuel et un " road book " sensuel, cérébral, drôle, véridique. La perspicacité du philosophe. L'oeil et le style du romancier. 2006.
La Première Guerre mondiale ((Idées reçues : histoire & civilisations ; 169))
Par François Cochet. 2008
"L'assassinat de François Ferdinand a déclenché le début des hostilités" "La guerre devait être courte" "Ce fut principalement une guerre…
des tranchées" "Verdun, la boucherie" "Sans les États-Unis, la guerre aurait été perdue" "Toute une génération a été inutilement sacrifiée"... Issues de la tradition ou de l'air du temps, mêlant souvent vrai et faux, les idées reçues sont dans toutes les têtes. L'auteur les prend pour point de départ et apporte ici un éclairage distancié et approfondi sur ce que l'on sait ou croit savoir". -- 4e de couv.
Wild: [récit]
Par Cheryl Strayed. 2013
Lorsque sur un coup de tête, Cheryl Strayed boucle son sac à dos, elle n'a aucune idée de ce qui…
l'attend. Tout ce qu'elle sait, c'est que sa vie est un désastre. Entre une mère trop aimée, brutalement disparue, un divorce douloureux et un lourd passé de junkie, Cheryl vacille. Pour tenir debout et affronter les fantômes de son passé, elle choisit de s'en remettre à la nature et de marcher. Elle part seule pour une randonnée de mille sept cents kilomètres sur le Chemin des crêtes du Pacifique, un parcours abrupt et sauvage de l'Ouest américain. Au fil de cette longue route, elle va surmonter douleurs et fatigue pour renouer avec elle-même et finalement trouver sa voie. 2013.
Les lumières de Manhattan: [chroniques nord-américaines, 1971-1982] ((Héritage-Amérique))
Par Robert-Guy Scully. 1983

Voyage en Amérique
Par Charles Dickens. 1994
Texte important de 1842 qui n'est pas seulement un récit de voyage, vue par un écrivain déjà maître en description…
tant physique que psychologique, mais aussi un récit féroce et noir provoqué par la déception du voyageur. Rien ne répond à ce qu'il attendait du pays de la démocratie. [SDM
America, 1803-1853: l'expédition de Lewis et Clark et la naissance d'une nouvelle puissance
Par Denis Vaugeois. 2002
De pays côtier, un peu frileux, les Etats-Unis sont soudainement devenus une partie de continent, avant de se prendre pour…
tout le continent. We the people of the United States, disait la déclaration d'indépendance des États-Unis de 1783. We are America, diront les Américains moins d'un siècle plus tard. Quelle a été l'influence de l'expédition de Lewis et Clark qui s'est déroulée de 1804 à 1806? Par une succession de brefs regards qui sont autant de courtes histoires, le lecteur sera entraîné dans un survol original qui le conduit à cette manifest destiny, quasi de droit divin, si chère aux Américains. À partir de l'acquisition du territoire de la Louisiane en 1803, le rouleau compresseur se met en branle. Britanniques et Espagnols sont repoussés, Canadiens et Mexicains sont évacués, les Indiens sont écrasés, anéantis. [...] -- 4e de couv
Versailles 1919: chronique d'une fausse paix (Production Jeannine Balland)
Par Patrick De Gmeline. 2009
« 12 novembre 1918 : au lendemain même de l'armistice de Rethondes, les troupes françaises, britanniques et américaines rentrent victorieusement…
en Alsace-Lorraine. La conférence de la paix s'ouvre solennellement à Paris le 18 janvier 1919. Elle s'achèvera le 28 juin par la signature du traité dans la galerie des Glaces du château de Versailles, devant tous les représentants des puissances alliées. Pour la première fois, cet événement politique, diplomatique et militaire majeur du xxe siècle, qui a modelé le visage de l'Europe jusqu'à notre époque, est abordé sous l'angle de la chronique quotidienne. Ce livre met en scène les acteurs politiques et militaires de l'époque, les premiers rôles comme les seconds, qu'ils soient français, britanniques, américains, italiens ou allemands, mais aussi ceux représentant les puissances associées ". Il aborde simultanément les événements qui se déroulent au même moment dans les différents pays où se joue alors l'avenir immédiat de l'Europe, événements qui étaient le plus souvent connus avec un décalage dans le temps expliquant bien des décisions, bien des ignorances et des incompréhensions aussi ! Cette approche met en évidence les difficultés extrêmes de la négociation et les oppositions violentes, voire les affrontements, des Quatre Grands pour tenter de régler la paix du monde [...]. » -- 4e de couv
Voyage avec Charley
Par John Steinbeck. 1995
"Nostalgie et désenchantement : telle est la tonalité de ce voyage à travers l'Amérique que Steinbeck entreprend en 1960 (deux…
ans avant de recevoir le prix Nobel de littérature), au volant de son mobil-home, avec pour seul compagnon son chien Charley - vieux gentleman français né à Bercy. De cette aventure, il va tirer son dernier grand livre. Pennsylvanie, forêts du Maine, interminables plaines du Middle West, hautes terres du Montana, côte Pacifique, déserts du Sud, Texas, Nouvelle-Orléans et retour : onze semaines de randonnées hasardeuses, de rencontres, de surprises (bonnes et mauvaises) - mais surtout de regrets. Car le récit qu'il nous en fait, malgré sa verve, sonne comme un chant d'adieu. [...] Son diagnostic n'est pas encourageant, mais il nous intéresse au premier chef, nous qui venons après lui. Car le monde qu'il aperçoit à travers les apparences qui s'offrent à chaque tournant du chemin est bien le nôtre. Et à relire son livre avec ces trente-cinq années de recul, on ne peut que se retrouver à l'unisson de son désarroi. Et se dire que le plouc de Salinas, décidément, n'avait pas les yeux dans sa poche." -- 4e de couv
Les états-désunis: suivi d'un entretien avec Noam Chomsky (Collection Mémoire des Amériques)
Par Vladimir Pozner. 2009
« En ces temps de crise, il faut lire et relire cette chronique de l'Amérique de la Grande Dépression. Ce…
livre clé, « d'une critique impitoyable et d'une grande tendresse » (Jorge Semprun), a marqué les esprits dès sa sortie en 1938. Dans un genre littéraire qui lui est propre, qui tient autant du reportage que de la forme romanesque, Pozner observe et décrit un pays, les États-Unis, alors en pleine détresse spirituelle et matérielle, mais qui ne cesse de fasciner. Ce peuple, l'auteur en sonde l'âme par un puissant montage de détails : la vie quotidienne de Harlem, les briseurs de grève de l'agence Pinkerton, la guerre des journaux à Chicago, les héros déchus de Hollywood, les grèves violentes dans les mines de Pennsylvanie, John Dos Passos et Waldo Frank, le courrier du coeur et les écrivains publics, le marchand de lacets de Wall Street, les gangsters et les croque-morts. Il compose une mosaïque qui renvoie l'image d'un pays où l'énergie le dispute au désespoir, la solidarité à la misère, et où le culte du service et de l'efficacité mène le plus souvent à l'asservissement et au décervelage. » -- 4e de couv
'' Paris, gare de l'Est, en ce dimanche 2 août 1914, c'est la mobilisation générale. Il y a bientôt cent…
ans, le samedi 1er août, l'Allemagne a déclaré la guerre à la Russie, l'alliée de la France. L'Empire austro-hongrois est, dès le 28 juillet, entré en guerre contre la Serbie. L'engrenage des alliances, des ultimatums, des mobilisations, entraîne les nations dans sa mécanique sanglante. Berlin est solidaire de Vienne. Paris, lié à Londres, soutient Saint-Pétersbourg. En quelques heures, toutes les grandes gares européennes ressemblent à la gare de l'Est. Tous ces hommes qui partent, innocents, inconscients, n'imaginent pas que des centaines de milliers d'entre eux vont mourir ou être blessés avant que l'année 1914 se termine, et que cette guerre, qui devait être brève et locale, deviendra la Première Guerre mondiale. '' -- 4e de couv
1914 ((Champs. Histoire #1108)
Par Luciano Canfora. 2014
" Et si l'on concevait la tâche de l'historien comme l'enquête d'un Sherlock Holmes ? Si la guerre pouvait être…
assimilée à un crime, les coupables se dissimulant, des alibis étant invoqués, des innocents désignés du doigt ? Dans cet ouvrage - ni livre édifiant ni commémoration -, Luciano Canfora aborde la guerre non comme un monument, mais comme un événement vivant qu'il s'agirait de retourner dans tous les sens pour comprendre ce qui s'est vraiment passé . L'enquête menée au fil de ces pages - puisqu'il s'agit bien d'une enquête - se déroule en une vingtaine de courts chapitres, tirés de conférences à la radio publique italienne, à lire d'une traite comme autant de petites histoires. Les idées reçues - surtout celles qui ont cours dans les pays vainqueurs - ne survivent pas à l'examen. La fin ne nous livre pas un unique coupable, mais nous laisse vaccinés contre les reconstructions apologétiques. C'est le livre que doit lire qui veut se faire en quelques pages une idée de la multiplicité des causes et des conjonctures qui ont conduit à la Première Guerre mondiale. " -- 4e de couv