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L'univers Maranda: même le diable a droit à un avocat
Par Christian Tétreault. 2023
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Biographies, Loi et crime, Loi et justice
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Un criminaliste flamboyant, les pires bandits de l'histoire judiciaire du Québec: Bienvenue dans l'univers Maranda. Avocat de génie qui tétanisait…
la partie adverse et imposait le respect aux juges les plus coriaces, ardent défenseur des droits et libertés fasciné par le parcours des hors-la-loi qu'il représentait, homme respectable que l'amour a traîné sur le banc des accusés: Léo-René Maranda (1932-2012) était la complexité faite homme. Découvrir l'univers Maranda, c'est plonger dans une époque révolue où les figures mythiques de Brian Erb, Richard Foley, Monica-la-mitraille, Gérard Fontaine, Donald Côté et Alain Charron couraient encore les rues, protégées par la verve de leur éblouissant défenseurDe la couleur des lois: Une histoire juridique du racisme au Canada entre 1900 et 1950
Par Constance Backhouse. 2009
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Ouvrages documentaires canadiens, Loi et justice
Audio avec voix de synthèse, Braille automatisé
Malgré l’ouverture proclamée des Canadiens face à la diversité ethnique et culturelle, l’histoire canadienne n’en est pas moins marquée par…
la discrimination systématique. Cet ouvrage expose la ténacité juridique de cette discrimination par l’entremise d’un examen de six arrêts judiciaires déterminants entre 1900 et 1950 qui démontrent comment le système juridique canadien fut complice de la discrimination raciale. Les cas retenus font exemples des diverses façons dont le racisme a opéré dans les différents environnements juridiques du Canada. On y retrouve ceux d’Eliza Sero, qui a présenté en 1921 une revendication à la souveraineté Mohawk, de Wanduta, un Heyoka de la nation Dakota, qui visait à faire reconnaître son droit de célébrer la traditionnelle danse des herbes sacrées en 1903, d’Ira Johnson, qui a eu à subir le courroux du Ku Klux Klan en raison de son désir de contracter un mariage mixte en 1930, de Yee Clun, un restaurateur canadien d’origine chinoise à qui l’on avait refusé le droit d’employer des femmes blanches en 1924 et de Viola Desmond, qui avait été empêchée par le personnel d’un cinéma de s’asseoir dans une section réservée aux Blancs en 1946. De la couleur des lois illustre l’ambiguïté opérationnelle ainsi que l’étonnante et sournoise persévérance du racisme à l’oeuvre dans le système juridique canadien. De la couleur des lois est la traduction française de Colour-Coded: A Legal History of Racism in Canada (University of Toronto Press, 1999), qui a été gagnant du prix Joseph Brant en 2002.
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Essais et documents généraux, Loi et justice
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Cet ouvrage étudie les conditions d’émergence historiques et discursives du « droit de (la) traduction » et du droit qui…
l’administre : le droit d’auteur. Privilégiant une approche essentiellement archéologique, l’auteur montre comment la conception classique de la traduction a joué un rôle sensible dans la formation du discours juridique qui a contribué à l’avènement de l’auteur et de son droit tels que conçus aujourd’hui. L’auteur examine les implications culturelles, politiques et éthiques du droit de traduire, surtout pour les pays en développement, engageant par là une perspective postcoloniale. Soucieuse d’une meilleure diffusion du patrimoine culturel mondial, la politique du droit de traduire qu’il propose n’interroge pas seulement le droit d’auteur comme catalyseur de la marchandisation de la production intellectuelle, mais également le droit international comme instrument de l’impérialisme culturel de la mondialisation. Conçu désormais hors du champ juridique traditionnel mais plutôt dans celui d’une résistance politique, l’auteur démontre comment le droit de traduction devient alors un « droit à la traduction ».