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Le vacarmeur: notes sur l'art de voir, de lire et d'écrire (Le Français tel qu'on le parle)
Par Robert Lalonde. 1999
Flaubert (Grandes biographies)
Par Henri Troyat. 1988
Qui est en réalité le père du roman moderne? Fidèle à la vie de Flaubert comme à son dessein littéraire,…
Troyat en restitue tous les timbres : exalté et sarcastique, cocasse et tendre.Emile Nelligan ((Célébrités canadiennes)
Par Réal Bertrand. 1980
Célébrités sont les premiers ouvrages à consulter pour les élèves du secondaire qui veulent impressionner leurs professeurs par la richesse…
de leurs références. Voilà une belle petite collection pour les beaux grands projets de recherche.Des histoires qui vous ressemblent (Secrets d'écriture)
Par Françoise Bourdin. 2022
Une réflexion sur le métier d'écrivain dans laquelle la romancière dévoile ses secrets d'auteure, notamment en matière de saga familiale.…
L'écriture est pour elle un moyen d'expression et la source ultime de bonheur.L'amour à 10 sous: le roman sentimental québécois de l'après-guerre
Par Marie-Pier Luneau. 2023
Le Québec des années 1940 et 1950 représente l'âge d'or des "romans à dix sous", que l'on s'arrache un peu…
partout. Ces petits fascicules exposent de fabuleuses histoires d'amour entre des jeunes femmes à la beauté éclatante et des jeunes hommes promis à la richesse. On les reconnaît facilement à leurs couvertures aguichantes et à leurs titres accrocheurs, comme La chasse au mari, Les yeux caressants, Désirs audacieux ou encore La Belle de Boucherville... Ce nouvel imaginaire amoureux, centré sur le bonheur du couple, est exploré pour la première fois à travers les magnifiques illustrations d'un artiste méconnu, André L'ArchevêqueTours et détours: Le mythe de Babel dans la littérature contemporaine
Par Catherine Khordoc. 2012
Tours et détours examine l’inscription du mythe de Babel dans la littérature contemporaine de langue française. Le mythe s’avère une…
source d’inspiration pour les auteurs examinés qui évoquent justement des phénomènes sociaux actuels, tels que le multiculturalisme, l’immigration, l’exil, la pluralité des langues, la traduction et l’identité. Les ouvrages étudiés, tous écrits en français mais issus de différents contextes linguistiques et culturels, mettent en lumière de nouvelles interprétations du mythe de Babel. Pendant longtemps le mythe de Babel et la pluralité linguistique et culturelle qui s’ensuivent ont été considérés une malédiction pour l’humanité, mais les romans à l’étude remettent en question cette vision négative. Sans exalter les bienfaits de la multiplicité, ils considèrent comment la pluralité linguistique et culturelle enrichit et façonne la production littéraire ainsi que le monde contemporain. Les auteurs et œuvres étudiés sont • Monique Bosco, Babel-Opéra • Hédi Bouraoui, Ainsi parle la tour CN • Francine Noël, Babel, prise deux ou Nous avons tous découvert l’Amérique • Ernest Pépin, Tambour-Babel • Jorge Semprun, L’AlgarabieLittéraire, non littéraire: Enjeux traductologiques d’une problématique transdisciplinaire (Regards sur la traduction)
Par Christiane Nord, Marie-Alice Belle, Valérie Bouchard, Hélène Buzelin, Bruno Courbon, Fayza El Qasem, Nicolas Froeliger, Patricia Godbout, Andrée Mercier, Adrien Rannaud, Marie-Andrée Ricard. 2021
Cet ouvrage collectif aborde les aires de divergence et de convergence, les différences et les confluences entre le littéraire et…
le non littéraire dans la perspective d’une application à la traduction et à la traductologie. Cette réflexion épistémologique est alimentée non seulement par l’apport de traductologues, mais aussi par ceux de chercheurs issus des domaines extérieurs ou connexes à la traductologie et dont cette dernière se nourrit – en l’occurrence, le droit, la lexicologie, la théorie littéraire (narratologie et histoire littéraire) et la philosophie. Le pari de ce collectif est double : d’une part, il cherche à illustrer de manière concrète comment peut fonctionner et évoluer la traductologie en tant qu’interdiscipline, voire polydiscipline, par le simple fait de réunir dans un seul ouvrage des contributions complémentaires qui, prises ensemble ou séparément, peuvent inspirer de nouvelles avenues aux traductologues. D’autre part, il vise à mettre en évidence l’urgente nécessité de repenser la traductologie dans une perspective décloisonnée. Préfacé par Christiane Nord, traductologue incarnant aujourd’hui l’héritage de la traductologie fonctionnaliste allemande, cet ouvrage réunit traductologues et non-traductologues autour de la traductologie et des vastes enjeux qu’elle embrasse, ceux-ci étant souvent sous-estimés ou méconnus en-dehors de la sphère traductologique.Traductions et métraductions de Jane Austen: Effacement et survivance de la voix auctoriale (Regards sur la traduction)
Par Rosemarie Fournier-Guillemette. 2021
La réputation de l’autrice britannique Jane Austen, particulièrement dans le monde anglophone, n’est plus à faire : son œuvre est…
abondamment fréquentée par les lecteurs et lectrices, et l’on ne compte plus les adaptations et continuations – textuelles et transmédiatiques – de ses romans. En français seulement, ses ouvrages ont été l’objet de plus de 70 traductions en deux siècles d’existence.Comment son écriture, où abondent humour, ironie et discours indirect libre, a-t-elle été intégrée au corpus français ? Alors qu’Austen fait déjà l’objet de débats dans le monde anglo-saxon, quelle interprétation aura franchi la Manche et été proposée au lectorat francophone ? Ce transfert linguistique aura-t-il, pour l’autrice, donné lieu à une traduction ou à une métraduction ?Analyse littéraire combinant les disciplines de la traductologie, la narratologie et des études féministes, ce livre se penche, avec une approche diachronique, sur les traductions françaises de trois romans de Jane Austen : Northanger Abbey (1803 [†1818]), Pride and Prejudice (1813) et Persuasion (†1818).Dans cette étude traductologique et littéraire des versions françaises des romans de Jane Austen, Rosemarie Fournier-Guillemette s’intéresse aux destinées françaises des prises de position et de l’écriture de cette autrice qui a inspiré de nombreuses féministes par sa critique de l’institution du mariage.Problématiques identitaires et discours de l'exil dans les littératures francophones (Transferts culturels)
Par Anissa Talahite-Moodley. 2007
De quelle manière s’est transformée l’idée d’appartenance à une culture, une nation ou une ethnie particulière ? Peut-on encore parler…
d’ « exil » dans le contexte de cultures transnationales et d’identités plurielles ? Y a-t-il une écriture de l’exil ? Cet ouvrage cherche des réponses à ces questions à travers le regard nouveau que portent les écrivains francophones contemporains sur les problématiques identitaires. Un groupe international d’universitaires s’est penché sur des œuvres d’auteurs francophone d’origines diverses – africaine, antillaise, canadienne, chinoise, maghrébine, libanaise, russe pour n’en citer qu’une partie – pour y interpréter le « discours de l’exil ». Ce qui ressort est une diversité immense mais une constante : l’exil est une mise en perspective qui ouvre la possibilité de constructions identitaires nouvelles et fait de ces littératures francophones un lieu de créations fertile en questionnements.Études sur la traduction de l'anglais (Collection Regards sur la traduction)
Par G.M. de Rochmondet. 2008
En 1830, Madame G.M. de Rochmondet publie à compte d'auteur les Études sur la traduction de l'anglais, un ouvrage qui…
se distingue des ouvrages antérieurs sur la question de la traduction de l'anglais vers le français. Peu connu, son travail s'oppose aux études antérieures qui se fondaient sur un auteur en particulier ou qui se concentraient sur la (re)traduction des Anciens. Utilisant un corpus de textes anglais publiés au XVIIIe siècle, Rochmondet présente une théorie de la traduction littéraire et élabore un vocabulaire original pour décrire la traduction. Bien plus qu'un simple manuel destiné à fournir des exercices de traduction aux étudiants de l'époque, les Études sur la traduction de l'anglais forment un ouvrage si complet que l'on ne peut que songer à une thèse ou à un ouvrage longuement mûri. On ne sait rien de l'auteure, sinon qu'elle se présente comme une femme qui aurait enseigné l'anglais et la traduction. Les textes qu'elle analyse laissent deviner une femme d'une grande érudition, au fait de la littérature anglaise. Sa connaissance de nombreux textes français portant sur la traduction montre également qu'elle a mené une réflexion approfondie sur le rôle de la traduction littéraire dans le cas particulier de la culture française. L'appareil critique de Benoit Léger montre en quoi la position de cette traductrice est novatrice. Une bibliographie des traductions et des textes théoriques publiés en France au XIXe siècle complètent cette édition.Médée protéiforme
Par Marie Carrière. 2012
Le mythe de l’infanticide Médée a toujours connu une fortune littéraire et la littérature féminine contemporaine ne fait pas exception.…
L’analyse comparée de huit textes de femmes de divers horizons tente de cerner les enjeux de cette figure irréductible pour une pensée féministe actuelle sur la maternité, le sujet et l’écriture mythique. En s’interrogeant sur la pertinence particulière de la tragédie d’Euripide aux reprises médéennes, explicites ou sous-entendues, des femmes, cette étude comparée se penche sur des textes du théâtre de Marie Cardinal, Deborah Porter, Franca Rame et Cherríe Moraga, et des romans de Monique Bosco, Christa Wolf, Bessora et Marie-Célie Agnant. À travers ses incarnations transculturelles, le mythe de Médée éclaire les affres de l’exil et de l’exclusion, ainsi que certaines visions du maternel qui préféreraient peut-être rester dans l’ombre de nos présuppositions et de nos règles sociales. Bien qu’il n’y ait pas plus monstrueux ou fou que l’acte infanticide, Médée, elle, n’est pas monstre, pas folle, mais lucide, humaine à part entière, comme la voulait Euripide, alors qu’elle s’en prend à ses enfants, à la culture défectueuse, à l’histoire des hommes. La réécriture au féminin de Médée force aussi une conception du sujet qui ne revêt pas facilement sa cohérence. Mais la poétique même de cette Médée retranscrite au féminin fait preuve de sa flexibilité, son indétermination, son pouvoir de transcender la simple répétition de son mythe, vu ici autrement et différemment.