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Un historien dans la cité: Gaétan Gervais et l’Ontario français (Amérique française)
Par François-Olivier Dorais. 2016
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Biographies, Ouvrages documentaires canadiens, Histoire
Audio avec voix de synthèse, Braille automatisé
À la fois témoin et acteur des grandes transformations socio-identitaires qui ont marqué l’Ontario français depuis la fin des années…
1960, Gaétan Gervais est aussi connu à titre de créateur du drapeau franco-ontarien en 1975. Les divers lieux d’enracinement de sa pensée sont étudiés depuis le Sudbury français des années 1940 et 1950, en passant par le contexte de mutations culturelles, politiques et historiographiques des décennies d’après-guerre. L’étude s’étend au contenu des écrits de l’historien ainsi qu’à ses interventions dans les sphères publique et gouvernementale de l’Ontario et de la francophonie canadienne, notamment au regard de l’éducation postsecondaire. L’analyse fait ressortir les paramètres structurants de sa pensée et montre comment celle-ci opère dans l’espace propre au milieu minoritaire francoontarien. Elle fait apparaître l’historien comme l’une des principales figures énonciatrices d’une représentation identitaire axée sur une continuité référentielle avec la mémoire du Canada français historique.Le Piège de la violence et les jeunes (Perspectives alternatives en criminologie)
Par Jacques Laplante. 2008
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Psychologie, Loi et crime, Sociologie
Audio avec voix de synthèse, Braille automatisé
La violence a multiples faces, toutes celles qu'on lui donne selon les soucis de l'heure et les jeunes font toujours…
partie de ces soucis. Le piège de la violence dans lequel le jeune peut tomber ne dépend pas uniquement de son agir, mais relève de la façon dont on appréhende cet agir en termes de violence. Ce piège ne dépend pas non plus uniquement de ce qu'est le jeune; il relève souvent de la manière dont on se saisit de sa personne pour en préciser le profil délinquant. Dans ce processus qui conduit souvent au pénal, le piège se referme sur le jeune et peut le détruire complètement. L'ouvrage examine comment cette violence particulière capable de détruire le jeune s'infiltre socialement. Cette violence n'a pas sa source dans quelque intervention extraordinaire de l'autorité étatique, mais bien dans un quotidien plus ou moins banal où rationalisations, peurs, intérêts, idéologies reconduisent les structures en place. La violence des jeunes prend la figure de l'institution qui la combat.